Fantasme Sur Une Sportive Qui Dé (1Ère Partie)
Le jeudi cest ma soirée badminton. Il y a deux semaines, en fin de soirée, Anouchka cherchant un partenaire de jeu ma demandé si je voulais encore faire un set avec elle.
Avant de poursuivre, je dois vous préciser quAnouchka a rejoint le club cette année-ci et quelle a une fine silhouette de rêve et surtout un visage dange avec une peau diaphane et des pommettes roses qui viennent souligner un sourire quasi permanent. Moi qui trouve quun sourire cest déjà 50% de la beauté, quand je regarde Anouchka je dois me concentrer pour la regarder normalement.
Et donc au vue de sa proposition, je lui ai répondu que jétais bien-sûr disponible mais comme les quelques joueurs restants étaient tous occupés, cela voulait dire quon jouerait un simple et que cétait beaucoup plus physique quun double. Elle ma répondu : « Tu veux dire par là que tu penses que je naurais aucune chance contre toi ? ». Un peu mal à laise je lui ai dit : « Heu, non, ce que je veux dire avant tout cest que cest fort différent. Le but de toute façon cest de prendre du plaisir ».
« Si tu penses gagner je suppose que tu ne seras donc pas contre pimenter le match. Que penses-tu dun gage pour le perdant ? » ma-t-elle sorti.
Là javoue que je fus estomaqué. Mais après je ne pus mempêcher en regardant ce corps de rêve de me dire qua priori je ne risquais pas grand-chose (Mince elle débutait quand-même. Maintenant sa vitesse de progression était impressionnante, je la soupçonne dêtre une très bonne joueuse de tennis). Je lui ai demandé: « A quel type de gage penses-tu ? ». Et elle me répondit : « Je te propose de noter le gage que tu désires sur un bout de papier et le vainqueur pourra choisir entre le sien ou celui que lautre comptait demander ». Et là, entrevoyant la possibilité de voir ce corps splendide sans plus aucun vêtement, jai accepté son défi et jai noté sur un bout de papier : Offrir un strip-tease.
« Cest parti » me dit-elle.
Elle ma alors regardé en se délectant de mon dépit et elle ma alors lancé: « Il est lheure de passer à laddition ». Et elle souriait jusquaux oreilles. « Tu ne vas quand même pas te débiner ? ».
« Non » répondis-je dans un état second. « Je viens de perdre et jassumerai donc ma défaite ».
Elle prit alors mon papier et me dit : « Un strip-tease
Je vais plutôt prendre mon choix. Tu vas devoir me laver dans la douche de la manière dont que lexigerai. Est-ce clair ?»
« Oui » répondis-je. Différentes pensées se bousculèrent alors dans ma tête : « Quid si quelquun dautre rentre dans les douches des femmes pendant que je suis occupé ? Super, je vais quand même voir son corps de rêve ! Que va-t-elle penser en me voyant le sexe bandé ?
Si la situation mangoissait, je devais reconnaître quelle mexcitait également. Au moins je lui montrerai un sexe dune taille pas trop gênante (au repos par contre jétais bien plus en dessous de la moyenne).
Après être passé chercher mes affaires côté homme, je lai rejoint pour entrer dans les vestiaires des femmes dans lesquelles heureusement, il ny avait personne dautre si ce nest quand même les affaires de deux autres joueuses.
« Déshabille-toi » me dit-elle pendant quelle retirait ses chaussures, chaussettes puis sa jupette pour moffrir la vue de jolies cuisses et une belle petite culotte bleue avec ce qui ma semblé un peu dhumidité à hauteur de sa toison. Était-ce de la transpiration ou autre-chose ?
De mon côté jai enlevé mon short en même temps que mon string pour quelle ne saperçoive de rien et puis le reste que jai déposé en boule sur le banc. Elle sest mise alors à me scruter et mon sexe qui nétait déjà plus au repos sest mis au garde à vous. Je lai regardé à la fois gêné et à la fois impatient de découvrir la suite. Cest alors quelle a sorti de son sac de sport des lunettes de plongée, quelle a déchiré un mouchoir en papier en deux et insérant une moitié dans chaque globe elle ma dit : « Mets cela ».
CATASTROPHE ! Je ne verrai rien et elle, elle pourra samuser.
Elle ma alors donné le savon, ma tenu la main pour me guider et ma dit : « Suis-moi sous la douche et commence par me savonner le dos ». Je me suis appliqué et je lai entendu manifester un léger gémissement de plaisir. Après quelques minutes est venue la demande suivante :
« Maintenant tu vas toccuper de bien laver mes pieds mais en utilisant juste ta langue ». Je me suis mis donc à ses pieds et jai commencé à lui lécher un orteil puis un autre. « Passe bien entre chaque orteil. » me dit-elle. Et jai fait comme demandé trouvant la situation à la fois humiliante et à la fois excitante.
« Savonne-moi les jambes et rince ta bouche avec leau de la douche » fut lordre suivant.
Après vint : « Mets maintenant ta langue ici plus haut et lave moi au plus profonds » tout en positionnant son dos sur le mur de la douche et en écartant bien les jambes.
Découvrant alors avec ma langue, une toison coupée ras, jai commencé à lécher les lèvres de sa chatte que je devinais légèrement proéminente. Malgré le flux deau permanent de la douche, je pouvais déjà goûter sa cyprine qui avait un goût parfumé qui menivrait.
« Jai également beaucoup apprécié. Jadore offrir une fellation. Ma femme malheureusement ne laccepte que de temps en temps après sêtre lavée et là je me suis régalé. Ça ma énormément excité. ». « Je le vois. » me dit-elle en se saisissant de mon sexe tendu à lextrême ce qui me fit pousser un petit cri. « Cela va te faciliter la suite car tu vas devoir maintenant me laver les seins avec ton sperme ».
Jétais alors en même temps gêner en pensant que jallais devoir me masturber devant cette femme que je connaissais à peine et ravi de pouvoir me soulager au vu de la tension dans mon entre-jambe. « Arrange-toi pour ne rien perdre » a-t-elle jouté. Et en moins dune minute, je suis parvenu à remplir mes mains de mon sperme et jai étalé ma semence sur ces deux petits seins bien fermes que je me suis mis à malaxer. Cétait grisant.
Vint alors lordre suivant : « Maintenant tu vas tout rincer avec ta langue, et gare à toi si quand tu as fini cela colle encore ».
« Ah non » ai-je répondu. « Ça je ne peux pas ».
« Pour le gage jai écrit que cest de la manière dont je lexige. Pour léviter tu aurais dû gagner ou ne pas parier. Veux-tu me faire croire que tu nas jamais goûté ton sperme ? »
« Juste un peu. Et je nai vraiment pas aimé.» ai-je répondu.
« Et tu nas jamais demandé à ta femme de te sucer et davaler ?»
« Si mais elle refuse davaler ».
« Et pourtant tu ne trouveras pas dégoutant quune femme te suce et avale jusquà la dernière goute nest-ce pas ? ».
Je ne pus alors mempêcher de reconnaitre que oui.
« Il est donc légitime que tu goutes bien à ce que tu aimerais quon te fasse alors assumes ta défaite ! »
Je me suis approché avec réticence de sa poitrine quand elle ma dit : « Commence par bien tirer la langue et tu la mets à hauteur de mon téton gauche. Voilà et tu me faits un grand sourire pour montrer comme cela te plait. Maintenant tu montes doucement avec ta langue et tu récolte bien ton sperme. ». « Tu vois que ce nest pas difficile » ma-t-elle dit. « Maintenant lautre côté et puis tu nettoies tout parfaitement. ».
Alors que je me suis appliqué comme demandé. A un moment où leau de la douche venait de sarrêter, je me souviens maintenant avoir entendu un petit bruit sec et mêtre alors figé. Mais voyant ma réaction, elle a appuyé sur le bouton de la douche et ma dit : « Ce nest rien jai laissé tomber le capuchon du savon ».
Au bout de deux minutes supplémentaires, je lui ai dit : « Voilà sest fait. ». Elle a vérifié et puis ma pris mon index et la pressé sur une partie de son sein. « Tu ne sens pas que ça colle encore là ? ».
« Heu désolé, je vais peaufiner » ai-je répondu.
« Pas la peine, je vais men occuper mais pour te punir de ta négligence, tu vas devoir maintenant toccuper de ma porte arrière ». Elle ma mis à genou, ma demandé de tirer la langue et de sapprocher doucement. Quand jai atteint la cible jai constaté que ces fesses étaient bien écartées pour que je puisse bien la nettoyer. Elle sest tournée alors dans différentes positions et ma demandé de continuer à lui lécher le cul et puis jai entendu: « Aller cest bon, je suis propre, à ton tour de te laver ».
A peine avais-je trouvé le savon en cherchant à tâtons, que jentendis une porte souvrir et puis la voix de Florence, une des deux autres joueuses qui étaient encore sur le terrain quand on a conclu notre match qui entamait une discussion avec Anouchka.
« Horreur ! », me suis-je dit. Je me suis déplacé alors contre un des murs des douches en espérant quelle ne me verrait pas si elle prenait une des douches seules du côté droit. Une minute plus tard, le temps quelle se déshabille, jai entendu le son de leau qui coulait dans la partie droite des douches et cinq minutes après, leau sétait déjà éteinte. Et après avoir à nouveau échangé quelques propos avec Anouchka, jai entendu une porte se refermer. Nayant pas entendu le moindre cri de surprise ou réflexion gênante, jen ai déduit que je lavais échappé belle.
« Viens elle est partie » ma dit alors Anouchka. « En voulant préparer tes affaires, à côté de ton slip blanc tout propre, je suis tombé sur ce que tu portais pendant quon a joué ensemble » ma-t-elle sorti. « Un homme qui porte le string, jen avais jamais rencontré. Cela demande quelques éclaircissements.»
Là point de vue situation gênante, javais encore franchi un palier. Dans quelle galère javais bien pu me fourrer ? Ne sachant pas trop quoi répondre, je me suis dit après un temps de réflexion que le mieux cétait de répondre de manière très succincte et comme si finalement cétait relativement normal. Je lui ai confié alors que cétait suite à un pari perdu avec ma femme que javais dû macheter un string et que ma femme avait trouvé très sexy de me voir ainsi affublé. Et à la suite dautres gages (je suis joueur), jai dû en porter de plus en plus souvent et ne trouvant finalement cela pas désagréable, jen portais régulièrement pour lui faire plaisir et avoir notre petit secret coquin.
« Je veux voir cela. Enfiles le et fais un petit tour sur toi-même. » ma-t-elle dit en me glissant dans une main mon string noir encore trempé de transpiration. Jétais conscient qua priori mon gage était fini mais vu quelle mavait vu à poil et quelle savait que je portais le string, je me suis dit que je pouvais lui faire se plaisir. « Je suppose que je peux retirer mes lunettes maintenant ?» ai-je demandé alors. « Dans une minute » ma-t-elle répondu. Et puis jai entendu un click.
Oh merde, elle me prenait en photo. Là on allait au-delà du gage. Je ne pouvais laccepter. Cétait en plus la porte ouverte à ce quelle ne sarrête pas là. Je me rends compte maintenant que jai mis beaucoup de temps à réaliser que jétais en train de me faire bien manipuler. A ce moment, jai enlevé les lunettes avec pour intention de me saisir, de force si nécessaire, de son GSM pour effacer les 2-3 photos compromettantes quelle venait de faire mais cest alors que jai entendu des voix qui se rapprochaient de la porte des vestiaires et voyant ma serviette de bain sur le banc, je me suis précipité plutôt vers elle pour éviter de me retrouver en string devant dautres personne. Et là Anouchka en a profité pour attr son sac de sport et sortir en coup de vent en me disant : « A la semaine prochaine ! Et je te suggère de relever tes mails dici une petite heure.».
Quest-ce que cest que cette histoire ? Qua-t-elle voulu dire par là ? Je ne lui ai même pas donné mon adresse email. ai-je alors pensé.
Je me suis souvenu néanmoins que pendant quon jouait elle mavait dit quelle avait des problèmes avec sa boite mail Yahoo et quelle mavait demandé chez qui jétais. Je lui avais dit Hotmail. Elle connaissait également mon prénom et
pendant que je métais douché elle avait eu tout loisir de regarder dans mon portefeuille et donc de trouver également mon nom. Avec ces 3 éléments, elle pourrait sans doute deviner mon adresse mail
Dans quoi je me suis embarqué ? Jai eu alors limpression que le sol sétait dérobé. Mais me rappelant alors que jétais toujours quasi à poil dans les vestiaires des femmes, je me suis changé le plus rapidement possible et jai réussi à sortir des vestiaires sans que personne ne maperçoive. Sur le chemin de la maison, je métais dit quil devait encore y avoir moyen déviter que cela parte en vrille. Je devrais pouvoir raisonner Anouchka pour quelle efface les photos, au pire je naurais quà tout nier et dire que cest un montage.
Rentré à la maison, jai embrassé ma femme et je lui ai expliqué que javais eu une bonne soirée et que javais joué avec toute une série de personnes différentes. Il était important de ne pas laisser transparaître ce quil sétait passé quelque chose dinhabituelle. Cela devait rester secret. Jaime beaucoup ma femme et cette bêtise ne devait en rien impacter notre couple.
Après avoir rangé mes affaires, je me suis installé à mon bureau et jai relevé mes mails. Jai vu un mail intitulé Test provenant dune adresse a.badminton@yahoo.fr. Dans les destinataires, jai vu 3 fois mon nom et prénom. Une fois séparé dun point, le suivant dun tiret et le dernier tout collé ensemble. Merde, Anouchka avait clairement trouvé mon adresse email.
Après sans doutes quelques minutes, mais cela me parut une heure avec langoisse qui mhabitait, jai reçu un nouveau mail sintitulant Quel spectacle ! qui faisait 10 mégabytes. Jai voulu lire dabord le texte mais mon regard fut vite attiré par la première photo juste en dessous. Ce nétait même pas moi en string, cétait mon visage souriant avec la langue tirée remontant une bonne coulée de sperme sur un bout de sein. En dessous une photo de moi me masturbant, puis un zoom sur mon sexe après éjaculation revenu en position de repos pas très flatteuse et enfin ma langue fouillant bien son anus. Et malgré les lunettes qui cachaient mes yeux, on pouvait franchement me reconnaître sur ces photos. Je suis alors revenu au texte qui disait :
Olivier,
Cest beau de voir le plaisir que tu as à lécher ces différentes parties de corps. Comme tu mas confié que tu prenais beaucoup de plaisir à cela, je te propose que tous les mardis soirs les joueuses intéressées que jaurai mis dans la confidence pourront profiter de tes services en demandant une fellation que tu leur offriras dans les toilettes du club. Tu viendras avec un masque pour cacher tes yeux pour les plus pudiques, pour les autres, tu le feras en enlevant ton short et ton string pour bien être sur un niveau dégalité.
A. qui te remercie encore pour ce que tu lui as offert.
Commençant à comprendre dans quelles griffes jétais tombé, je me suis dit quil fallait absolument nier et refuser toute forme de chantage. Je navais quà parler dune folle qui truquait des photos. Ce serait sa parole contre la mienne. Jai donc répondu:
Chère A.,
Je ne vois pas de quoi vous voulez parler vous devez me confondre avec quelquun dautre.
Merci de ne plus menvoyer ce genre de courrier !
La réponse ne tarda pas :
Olivier,
Jai du mal à comprendre ta réaction. Ce serait trop bête de ne pas faire en sorte que tes fantasmes profitent à quelques personnes.
Que penses-tu de partager différentes photos avec cette liste de personnes dont tu me fournirais les emails ?
A.
Et en dessous la photo dune liste damis avec leur nom et adresse qui provenait de mon portefeuille.
« OH PUTAIN. Jétais foutu » ai-je pensé. Jai regardé la liste et compris quelle sous-entend quelle pouvait facilement deviner les adresses dune partie de ces personnes rien quavec leur nom et prénom. Jai fait lexercice moi-même et si heureusement cela ne fonctionnerait pas pour mon épouse, me suis rendu compte quelle atteindrait probablement 4-5 copines ainsi que ma belle-sur très proche de mon épouse.
Je navais plus le choix. Pour éviter que mon épouse soit au courant il fallait que je lâche du terrain. Mais comment fixer une limite ?
Jai fini pas répondre.
OK chère A., tu marques un point. Je ne suis néanmoins pas prêt à rentrer dans une spirale qui ne pourra que mal finir. Il y a des personnes qui ne doivent jamais rien savoir. Cela ne pourrait donc se faire dans une discrétion absolue avec des règles strictes sur ce que je pourrais faire et encore plus stricte sur le fait quil ne faut jamais en parler à qui que ce soit même entre joueuses dans la confidence.
O.
Et je vis safficher sur mon écran :
Nous resterons bien sûr discrètes. La limite sera bien ce que je te proposai dans mon premier mail.
Nous utiliserons un nom de code. Tu seras : Le lèche foufoune du club.
Pour être sûr que tu ne te débineras pas et comprenne les conséquences dun refus, je remplis déjà une partie de ton agenda pour mardi prochain avec Françoise qui na vu quun avant-goût ce soir sous la douche.
A.
Je navais même pas échappé à cela finalement. Elle avait un témoin. Je ne voyais plus déchappatoire que daccepter son chantage quelle pourrait même nier avoir commis.
Et un nouvel mail arriva dAnouchka (à partir de son adresse normale) vers Françoise et mon adresse non visible:
Chère Françoise,
Tu vas être la première à pouvoir profiter dOlivier Le lèche foufoune du club. Il se fera un plaisir de tenvoyer au 7ème ciel avec sa langue dans les toilettes lors dune pause pendant notre badminton mardi prochain. Cela doit rester un secret absolu entre nous. Je tenvoie déjà un teaser quil ma demandé de tenvoyer. Tu dois néanmoins tengager à leffacer une fois lil rincé ;-).
Et là, jai vu 2 photos où jétais en string, une de dos quand javais encore les lunettes et une où je venais de les enlever et me dirigeais vers Anouchka avant que je ne pense que qqn allait nous surprendre.
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